Une déesse et un demi dieu. [titre très original...] [Artémis feat Andromaque]

J'hochais la tête.
- Oui. Je tiens énormément à Diane, parce qu'elle représente pour moi mon inscousiance enfantine, une qualité rare que j'ai perdue et que je regrette énormément.
Diane se laissa caresser, elle poussa un petit cri doux et s'approcha un peu plus du garçon.

Le coin de mes lèvres se dérida.
-C’est génial ça!
Je continuais de caresser la biche avec de petits gestes doux et attentionnés.

Je claquais des doigt pour remplaçer mon jean par ma toge courte qui faisait ma réputaion. Elle était couleur crème, et bordée de dorures. Elle se mariait parfaitement avec les mèches or dans mes cheveux. Mais aussi avec les sabots de Diane, qui eux aussi avec une teine dorée. D'ailleurs, notre petite biche préférée profitait de cette nouvelle façon d'être caressée avec joie et exitation, elle se rapprocha d'Andormaque jusqu'a l'avoir touché, presque sur lui finalement. Mais enfaîte, Diane n'était pas vraiment une biche, elle se rapprochait plus du faon que de celle ci, mais comme c'était une femmelle, tout le monde disait qu'il sagissait d'une biche.
Je passais une main dans mes cheveux, et observait les statuts autours de nous, ces scultures de pierre sans âme semblaient nous regarder, ça ne m'éffrayait pas, mais c'était intriguant.

Je souris et continuais de caresser la Biche distraitement regardant autour de moi.
Le Temple était grand et imposant, je me demandais pour quoi, nous les humains avions construit ça.
-Dis moi, tu parles souvent avec ma mère ?
J'avais posé la question sans m'en rendre compte, mais les mots étaient sortis de mes lèvres sans que je puisse les arrêtés.
Ma main qui caressait la jolie biche s'arrêta et se posa sur mes genoux.

-Dis moi, tu parles souvent avec ma mère ?
Je fus surprise de sa question, je ne pensais pas qu'il oserais demander. Diane revint près de moi et coucha près à ma droite. Je posais ma main froide sur sa fourruer et je la sentis frissonner.
- Je ne parle que très peu avec les autres Dieux. Je suis toujorus toute seule. D'ailleurs il y avait le mariage d'Athéna aujourd'hui, j'ai oublié d'y aller... Mais. les Dieux sont pires que les mortels, il n'y a pas plus querelleur qu'eux, toujorus à se créer des problèmes... Les parents répuidissent leurs enfants, les enfants trahissent leur parents... Nous ressemblons à la cour du Roi Louis XIV, nous paraissons inbattables, mais des lâches se glissent en nous....

- Je ne parle que très peu avec les autres Dieux. Je suis toujorus toute seule. D'ailleurs il y avait le mariage d'Athéna aujourd'hui, j'ai oublié d'y aller... Mais. les Dieux sont pires que les mortels, il n'y a pas plus querelleur qu'eux, toujorus à se créer des problèmes... Les parents répuidissent leurs enfants, les enfants trahissent leur parents... Nous ressemblons à la cour du Roi Louis XIV, nous paraissons inbattables, mais des lâches se glissent en nous....
Je restais la regarder les bras autour de mes genoux.
- Je vois. Tu ne parles même pas avec ton jumeaux ?
Je m'attendais plus ou moins à la réponse qu'elle m'avait sortit, je m'y connaissais en mythologie, même si pour rien au monde je lui aurais dis, ca aurais montré que je m’intéressais à eux, aux dieux, et beaucoup trop à ma mère

- Je vois. Tu ne parles même pas avec ton jumeaux ?
Je le regardais. Tournant mon visage à la peau glacée vers lui.
- Apollon et moi sommes très différents; Proches et éloignés à la foi. Il est le soleil, je suis la lune. Il est le jour, je suis la nuit. Nous nous assemblons, nous ne faisons qu'un mais jamais nous ne nous mélangeons. Et... Quand nous étions plus jeunes nous étions inséparables, aujourd'hui, je parle de moins en moins avec lui, parce qu'il est trop différent de moi, beaucoup trop rayonnant.

- Apollon et moi sommes très différents; Proches et éloignés à la foi. Il est le soleil, je suis la lune. Il est le jour, je suis la nuit. Nous nous assemblons, nous ne faisons qu'un mais jamais nous ne nous mélangeons. Et... Quand nous étions plus jeunes nous étions inséparables, aujourd'hui, je parle de moins en moins avec lui, parce qu'il est trop différent de moi, beaucoup trop rayonnant.
A mon tour je la regardais, elle me fascinais, ses yeux vides, sa peau glacée, ses paroles si..intelligentes, mais en même temps si déroutantes.
- Tu t'éloignes de plus en plus de tout le monde si je comprends bien.... Je ne sais pas comment tu fais, je ne pourrais pas laisser ma petite sœur seule, même si elle aussi est mon contraire.
Je me tus un petit instant laissant un blanc, ou on entendais que le vent qui entrait par les fissures dans la pierre, un sifflement continus et apaisant.
-Je trouve dommage que tu ne lui parles plus à cause de vos différences.

-Je trouve dommage que tu ne lui parles plus à cause de vos différences.
Je fermais une seconde les yeux et souris.
- Tu découvrira bien vite, que la différence est une force, mais aussi une faiblesse. Le Dieu dont je me sens le plus proche est Hadès. Il est comme moi, reclu, seul, ô combien je le comprends, dans ces gestes, dans sa façon d'être... Toi apr exemple, tu ne peux pas comprendre, tu n'a jamais été seul. Je ne parle pas de la solitude en attendant le retour d'une personne , non. La véritable solitude, celle qui te ronge, te faire devenir fou. Je suis folle. Completement. D'ailleurs, tu as dut le remarquer.

- Tu découvrira bien vite, que la différence est une force, mais aussi une faiblesse. Le Dieu dont je me sens le plus proche est Hadès. Il est comme moi, reclus, seul, ô combien je le comprends, dans ces gestes, dans sa façon d'être... Toi par exemple, tu ne peux pas comprendre, tu n'a jamais été seul. Je ne parle pas de la solitude en attendant le retour d'une personne , non. La véritable solitude, celle qui te ronge, te faire devenir fou. Je suis folle. Complétement. D'ailleurs, tu as dut le remarquer.
Hadès le dieux des enfers? Comment peut-elle l’apprécier un tant sois peux...
-Non en effet, jamais, j'ai toujours eu quelqu'un à m'attendre à la maison, des amis, et je ne veux pas connaitre cette solitude. Tu n'est pas folles, loin de là, juste désespérée, il faut te faut quelqu'un pour et comprendre, pour rester avec toi, et je ne suis pas sur qu'Hadès soit le mieux placé. Lui a décidé par ses actes de vivre reclus, toi tu n'a rien fais de répréhensible, tu ne te sens juste pas à ta place.
Je me levais et commençais à marcher, laissant ma main droite glisser sur la pierre froide.

-Non en effet, jamais, j'ai toujours eu quelqu'un à m'attendre à la maison, des amis, et je ne veux pas connaitre cette solitude. Tu n'est pas folles, loin de là, juste désespérée, il faut te faut quelqu'un pour et comprendre, pour rester avec toi, et je ne suis pas sur qu'Hadès soit le mieux placé. Lui a décidé par ses actes de vivre reclus, toi tu n'a rien fais de répréhensible, tu ne te sens juste pas à ta place.
Je baissais les yeux, il avait sûrement raison.
- Oui. Sans doute.
Diane posa sa tête sur mes genoux et je fermais les yeux. Utilisé un sort d'efface mémoire était extrement fatiguant.

- Oui. Sans doute.
Je continuais de marcher le long des statues laissant mes mains suivre les contours de ces dernière.
Je fis le tour de la salle avant de revenir à Artémis.
Je mis en face d'elle et m'accroupis.
-J'en suis même sur.....
Je la regarda un moment.
-Ca va ?

-Ca va ?
Je soupirai, j'avais froid, horriblement frois. Je frissonnais.
En réalité, mon corps était incapable de me donner une source de chaleur, il était créer pour la fraîcheur. J'avais toujours froids, j'étais toujours glacée, et j'étais habituée à ça.

Je me rassis près d'elle et la regarda en coin comme elle ne m'avait pas répondus.
Je m’aperçus qu'elle frissonnait.
Un instant passa ou la surprise me fit la fixer. Un Déesse peut avoir....froid ?
Avec hésitation j'approchais un de mes mains toujours brûlante, de son bras.
Je devais avoir un dysfonctionnement j'étais un ou 2 degrés toujours plus chaud qu'un homme normal, ou alors c'était mon sang de demi-dieux qui faisait ca.

Je sentis sa main sur mon bras, elle était brulante... mon dieu, ça faisait tellement de bien.
Ma peau était tellement froide...
Je saisis son autre main et la posais sur ma joue.
- S'il te plais... Fis-je.
Ca faisait tellement de bien d'avoi du chaud sur son visage...

- S'il te plais...
-Je t'en pris, fais..
Je la laissai faire et remontai mon autre main sur sa joue libre.
Sa peau était si froide contre la mienne.
Je la regardais, toujours aussi fasciné.

Je fermais les yeux, la chaleur de sa paume me faisait énormément de bien.
- M...Merci.
Mes frissons s'arrêtèrent. J'aimais la chaleur, j'en voulais plus. Et il 'men procurait beaucoup. Je le rammenais à moi et l'enlaçais, là je puis ressetir toutes la chaleur de son corps.

Quand elle m'attira elle, ma respiration se coupa d'abords.
-Qu'e..qu'est...
Mais je ne finis pas ma phrase. Mes bras qui étaient retombé le long de mon corps bougèrent doucement pour venir l'enlacer et la garder au chaud contre moi.
Un frisson me parcourut, je ne comprenais pas qu'elle puisse être si froide.

-Qu'e..qu'est...
Je souris et posais ma tête contre son torse, bien au chaud pour une fois.
- Ne t'inquiètes pas. J'ai toujours été froide comme cela.

- Ne t'inquiètes pas. J'ai toujours été froide comme cela.
Je hochais la tête pour approuvé sa réponse, mais je me rendis compte que je n'étais pas sur qu'elle puisse le sentir et formula une réponse clair.
-Ah..d'accord soufflais-je.
Je ferma les yeux et posa mon mentons doucement sur le haut de son crâne.
Pour une fois je ne trouvais rien à dire et laissai le silence roi de ces lieux parler pour moi.
Je souris faiblement et réfléchis, à tout à n'importe quoi, comme je le faisais si souvent.
Et d'un seul coup la réalité me revint, je tenais dans mes bras un déesse, la sœur de ma mère...

-Ah..d'accord
J'hcohais la tête et respirais sans forcément le couloir son odeur. Une odeur de mâle, comme je l'aimais tant avant, attirante, relaxante... Rassurante aussi dans un fait, ça me donnait l'impression que plus rien ne pouvait m'arriver, d'être protégée. j'aurai voulu resté toujorus comme cela et m'endormir.
Puis je le sentis se tendre, quand la réalité le frappa, je fronçais les sourcils.
- Qu'est-ce qu'il y a ?

- Qu'est-ce qu'il y a ?
Je mordis la lèvre et rouvris les yeux, je la tenais toujours contre moi.
Alors je relâchai mon étreinte et me décolla un peu d'elle sans pour autant la faire totalement partir de contre moi.
Je déglutis avant de prendre la parole.
-Tu..tu est une déesse... et tu es la sœur de ma...mère.
Je laissais ma phrase en suspend.

-Tu..tu est une déesse... et tu es la sœur de ma...mère.
Je fronçais les sourcils. Puis je compris son raisonnement. Je soupirai.
- Et alors ?

- Et alors ?
Je me levais en soupirant.
-Je ne veux pas qu'il m'arrive pareille qu'à mon père, je ne me ferais pas avoir, et puis, tu est la soeur de ma mère!
Je marchais jusqu'à une colonne, je sentais encore son corps froid contre le miens.

-Je ne veux pas qu'il m'arrive pareille qu'à mon père, je ne me ferais pas avoir, et puis, tu est la soeur de ma mère!
Je me elvais et marchais derrière lui.
- Attends !
Je le rattrapais grace à ma super vitesse;
- Je ne suis pas comme ta mère !