Une déesse et un demi dieu. [titre très original...] [Artémis feat Andromaque]

Je percutai le mur avec douleur.
Ma respiration se coute pendants un instant, essayant de la retrouvée, je restai la regarder dans les yeux.
-Qu'est...ce que.tu cherches..à me faire ?$Demandais-je la voix entre coupée.
Je posais ma main sur sa joue, si froide, ça me soulageais presque.

-Qu'est...ce que.tu cherches..à me faire ?
Je le sentis poser une de ses mains chaude sur ma joue, je rougis, ça faisais tellement longtemps que personne ne m'avais fais ça... Je serrais les dents et grognais.
- Tu...Tu devrais tomber dans les pommes là ! Tu devrais oublier... Oublier tout ce que je t'ai dis...

- Tu...Tu devrais tomber dans les pommes là ! Tu devrais oublier... Oublier tout ce que je t'ai dis...
Je ris doucement sonné par le coup dans le mur.
-Et bien tu vois, je n'ai rien oublier malheureusement...
Il continua de la regarder dans les yeux et laissa glisser sa main le long de sa joue avant de laisser retomber son bras.

-Et bien tu vois, je n'ai rien oublier malheureusement...
Je baissais les yeux, sa main sur ma joue était une sensation agréable, que j'avais oubliée...
Je serrais un peu plus mes lèvres rouge comme le sang.
- Arrêtes de rire, espèce d'idiot...
Mes forces m'abbandonnaient.

- Arrêtes de rire, espèce d'idiot...
-C’est plus fort que moi, désolée.
Je soupirai et déglutis.
-Si tu veux bien me lâcher maintenant s'il te plais...
Je baissais les yeux et fixai les pieds de la jeune femme.

-Si tu veux bien me lâcher maintenant s'il te plais...
Je tentais une dernière tentative, qui marcha, posant ma main sur son front.
- Oublies ce qui te fais le plus souffrir.
Etre bienveillante. Ce n'était pas mon idée de départ, mais bon, peut être que pour une fois, je pourrais être gentille. Je me demandais ce qui pouvais bien pouvoir le faire souffrir le plus. Peut être la mort de son amante ? Je voulais voir. Mon sort marcha, vu que des éclairs bleus jaillir de la paume de ma main.

- Oublies ce qui te fais le plus souffrir.
Au début je ne sentis rien, mais peux à peux ma vue se troubla, et tout me revînt en mémoire une dernière fois, tout ces instants heureux avec Pénélope, et sa mort dans un point d'eau à proximité.
Avec moi faisant la sieste et n'entendant pas ses appelles au secours désespéré, criant mon nom, tout ses instant, qui me revenaient en mémoire sans cesse. Oubliés.

Je sentis le garçon devenir lourd, il tombais dans le sommeil. Je soupirai. Avais-je bien fais ? Je détestais jouer avec les souvenirs des gens... mais cette Pénélope avait l'air de tellement le faire souffrir...
Je le laissais tombé doucement sur le sol et le couvrait en claquant des doigts.
Il se réveillerai d'ici quelques minutes...

En effet, moins de 5 minutes plus tard j'étais réveillé, j'ouvris lentement les yeux en soupirant.
J'étais comme dans le brouillard, mais étonnamment heureux, et sans problèmes.
Je me rassis, avec un mal de crâne par contre, je fixais le sol perdus.
En apercevant des pieds, je levais les yeux plus haut et tombai sur le visage d'Artémis.
-Rah! Qu'est ce que tu m'as fais!?

-Rah! Qu'est ce que tu m'as fais!?
Je lui souris, un sourire assez extraordinaire vu qu'il n’apparaissais que très rarement sur mon visage pâle.
- Je vois que tu es réveillé, héros.
Je m'étais remise à caresser Diane.

- Je vois que tu es réveillé, héros.
Je la regardais sans la voire essayant de focaliser mes yeux sur son visage. Enfin je retrouvais la vue.
-Ouais, ouais, je suis réveiller ouais...
Je me frottais les yeux et remmenai mes genoux contre moi...

Je me mis à sa hauteur une seconde, et posais ma main sur son front.
- Hm. La fièvre est tombée.
° il faut que je teste le sort... °
- Dis moi... Cette Pénélope. Comment était-elle ?

- Dis moi... Cette Pénélope. Comment était-elle ?
Je la regardais perplexe.
-Hein? De qui parles-tu? Je n'ai jamais entendus parler de Pénélope..
Je penchais la tête un peu perdus dans mes souvenirs, cherchant, mais ne trouvant rien.

-Hein? De qui parles-tu? Je n'ai jamais entendus parler de Pénélope..
J'hochais la tête, satisfaire, c'était parfait.
- Bon. Excuses moi, j'ai dus confondre avec quelqu'un d'autre...
Je m'asseyais près de lui, crevée.

- Bon. Excuses moi, j'ai dus confondre avec quelqu'un d'autre...
Je continuai de la regarder.
-Ah okay...
Je cherchais à Tâtons mon arc et mes flèches et les erra contre moi.
-Tu sais, pour ce que j'ai dis tout à l'heure, je suis désolée.... Ce garçon, ne te méritait pas vraiment...

-Tu sais, pour ce que j'ai dis tout à l'heure, je suis désolée.... Ce garçon, ne te méritait pas vraiment...
Mes muscles se tendirent et je changeais presque naturellement de sujet.
- Tu sais que tu es le premier demi mortel qui me tutoie ? même mes frère et soeurs ne me tutoie pas.

- Tu sais que tu es le premier demi mortel qui me tutoie ? même mes frère et soeurs ne me tutoie pas.
Je haussais les épaules et croisai les bras.
-Je ne vois pas pour quoi je te vouvoierais.....
Je fis un mince sourire.

Je pris mon arc et lui foutais un coup presque "affectif" sur la tête.
- Idiot ! Je suis une déesse.

- Idiot ! Je suis une déesse.
Je me frottais la tête.
-Aïe, mais ça fais mal!
Je grognais et m'allongeais.
-Moui, mais je n'ai pas beaucoup de respect pour tout, ca, tu sais le fait de grandir Sans mère par ce que ta mère est une déesse, ca aide pas beaucoup. Et ca manque surtout.

-Moui, mais je n'ai pas beaucoup de respect pour tout, ca, tu sais le fait de grandir Sans mère par ce que ta mère est une déesse, ca aide pas beaucoup. Et ca manque surtout.
j'hochais la tête.
- Je comprends oui. cela a dut être fort compliqué pour toi...

- Je comprends oui. cela a dut être fort compliqué pour toi...
Je haussais les épaules.
-Mouais, on fais avec tu sais hein!
Je m'allongeai pour regarder le toit du temple et enlevai mon pullover ayant trop chaud et restant juste en T-shirt.

Ma biche s'approcha d'Andromaque et lui tira son pull avec les dents, je ris, pour la première fois depuis très longtemps, je veux dire, pas un rire de folle dingue, un rire normal et communicatif.
- Diane ! Laisses !
Je ris de plus belle.

Je me tournais vers la biche.
-Hey, Laisses mon pull toi!
Je ris à mon tour en entendant le rire d'Artémis.
Je tendis lentement la main vers la Biche.

Diane ne sembla pas effrayer en voyant la main du garçon, au contraire, elle s'arrêta de tirer sur le pull et d'une façon intéressée, renifla sa main.
- Nos animaux sont les personnifications de nos âmes d'enfants. Nous les gardons précieusement.

Ma main s'approcha de la tête de la Biche et se posa doucement dessus.
Puis je tournai la tête vers Artémis.
-Ah oui?