Rencontre ^^ [Hydron]

L'infirmière courru chercher une poche de glace et se fut moi qui parla.
- Mais il n'a pas le droit de te frapper ! Dis-je plein de rage.
Puis je me calmais.
- enfin.. je veux dire...

Je ris, mais le rire se transforma en sanglot.
- tu crois quoi, tout n'est pas rose chez moi.. Ma mère est une pute, il voulait que je prenne sa place. Il a voulu défendre ses intérets, comme tout les hommes, c'est une brute.

- tu crois quoi, tout n'est pas rose chez moi.. Ma mère est une pute, il voulait que je prenne sa place. Il a voulu défendre ses intérets, comme tout les hommes, c'est une brute.
Je baissais les yeux.
- Mais tu n'as pas un père ou un frère ou même un petit ami qui aurait pus te défendre ?

Je leva mes yeux vers lui.
- mon père est planqué ici, et mes petits amis sont des cons qui veulent juste me sauter !
Je secoua la tête.
- retourne à ta petite vie.

- mon père est planqué ici, et mes petits amis sont des cons qui veulent juste me sauter !
Je levais un sourcil.
- Tu choisis mal tes petits amis --'

Je pris un magazine et lui lança dessus.
- je suis sûre que toi t'a jamais eu de copine, idiot comme tu es ! ou alors des déesse aussi bêtes que toi !

Le magazine s'immobilise à quelques centimètres de mon visage, se givra et s'écroula en des centaines de petits morceaux de cristaux.
- je suis sûre que toi t'a jamais eu de copine, idiot comme tu es ! ou alors des déesse aussi bêtes que toi !
je grognais et m'approchais d'elle, saisissant ses poignets.
- S...Si ! j'en ai eue plein ! Mentis-je.

Je regardais le catalogue, bouche bée. Puis ke déglutis.
- menteur. Je suis sûre que non.

Je grognais.
- Je ne mens pas !
Je la regardais.
- En tout cas je préfère ne pas avoir eue de petites amies et être puceaux plutôt qu'avoir plein de petit amis qui ne veulent que me baiser !

Rapide, je lui mis une claque.
- tu ne vaut pas mieux qu'eux. Par ce que moi, je les repousse.
Je me dégagea, et mis la glace sur mon bleu à le joue, dos à lui, vexée.

- tu ne vaut pas mieux qu'eux. Par ce que moi, je les repousse.
Je grognais et mis ma main sur ma joue.
- Tss...
Juste pour l'embêter, je fis se troué sa poche de glace et toute l'eau des glaçons se déversa sur elle.

Je frisonnais, trempée, et lui jetta un regard noir. Je remercia l'infirmière, pris une seconde poche, et sortis en trompe, vexée, blessée et énervée. L'eau coulait partout sur moi, et j'avais des glaçon dans ma robe de service, sans rien pour me changer.

Je la suivais, voulant faire durer son suplice. Je regardais sa robe trempée et souris. je lui tendis une autre tenue et lui souris lachement.
- Tu peux te déshabiller devant moi, ça ne me dérange pas.

Je ne me retourna même pas.
- autant rester trempée que m'habiller avec une de tes toges ! laisse-moi tranquille !
Je pris mon chariot de ménage, et partis le ranger dans la réserve. Puis je soupirais, j'allais devoir dormir dans le couloir, comme la veille.

- autant rester trempée que m'habiller avec une de tes toges ! laisse-moi tranquille !
Je l'attirai à moi, là je l’amenais dans une chambre, la faisait tomber sur le lit et lui jeta un regard noir.
- Je crois que tu n'as pas compris à qui tu t'adressais depuis tout à l'heure. Tu me parle comme un chien.

Je me roula en boule sur le lit, par instinct, bien trop de fois battue.
- et toi tu me considère comme de la merde ! et tu joue au gentleman, avant de me tremper, et en plus j'ai froid maintenant !

- et toi tu me considère comme de la merde ! et tu joue au gentleman, avant de me tremper, et en plus j'ai froid maintenant !
je ris.
- T'es frileuse hein !
Je fis s'évaporer l'eau sur elle.
- C'est bon. je vais pas te frapper. j'ai horreur qu'on fasse du mal aux femmes.

Je me redressa un peu, surprise.
- tu m'a fait mal contre le mur, j'ai un bleu dans le dos.

Je soupirai et me grattais la nuque.
- Je suis...
Ouhlalala... C'était dure à dire.
- ...D...Désolé...

Je soupirais, haussais les épaule,s et me leva.
- merci pour le séchage.
J'ouvris la porte, et sortis dans le couloir.

Je soupirai et m'allongeais sur le lit, regardant mon MP3 dans ma poche.

Je m'assis dans un coin, avec un serviette piquée dans une chambre en guise d'oreiller. J'éternua.

Je sortis de la chambre et la vit comme ça.
- Heu ? Tu fais quoi là ?

Je sursautais, et me cacha derrière la serviette.
- J'allais dormir, avant que tu viennes..
Je soupirais.

Je fis de grands yeux.
- Dormir ? ici ?