Je sens que Zeus va hurler....[Feat Athéna]

- Je ... Je suis désolé, j'ai fais ça sans réfléchir... Je voulais pas te gêné... Excuse moi ...
Sous le choc, je portai mes doigts à mes lèvres. Il m'avait embrasser.. Je dois bien avouer, que , malgré mon soit disant coeur de pierre, j'avais adoré... J'en revoulait encore.
- Ce .. c'est rien. Tu ne m'a pas gênée.. Au contraire.
Non mais qu'est-ce que je viens de dire là? bien sûr que si c'étais gênant, hein >.< Pas pour mon coeur, mais pour moi ..

- Ce .. c'est rien. Tu ne m'a pas gênée.. Au contraire.
C'était comme si durant notre baiser le temps c'était arrêté. je me sentais si bien, j'étais si heureux. Je la gardais dans mes bras, ne pouvant me résoudre à la lacher.
- Au contraire ? Demandais-je .

- Au contraire ?
Merde, là c'est moi qui suis coincée. Qu'est-ce que je vais? je sais pas, je sais pas, je sais pas, je ..
Hé, j'ai qu'à rien dire.. C'est une bonne solution ça. Je me hissa sur la pointe des pieds et embrassa de nouveau ses lèvres chaudes et douces. Celle de mon fiancé..

Je la vis être un peu perdue.
J'allais ajouté quelque chose mais elle m'embrassa avant que je puisse dire quoi que se soit. Je la laissais faire, et prit sa main, j'entrelaçais mes doigts avec les siens, avant de déposer un petit baiser sur le dos de sa main.
- C'est bon, j'ai compris.
Je lui souris.

[ j'suis en train de penser que Zeus doit être en train d'engueuler Héra à mort x')]

[ha oui en plus elle a vendue la mèche.. han tu fait venir Aphrodite 8D ? ça peut être amusant. ** ]

Je souris, et le laissa faire avec ma main.
- C'est bon, j'ai compris.
Je baissa les yeux.
- Je suis encore désolée, tu n'a pas du tout choisis.. et tu ne pouvait pas dire non.. je te jure que je n'en savais strictement rien !
Je posa mon front sur son torse.

[ Oh oui **]

- Je suis encore désolée, tu n'a pas du tout choisis.. et tu ne pouvait pas dire non.. je te jure que je n'en savais strictement rien !
Je caressais ses cheveux.
- Je suis très heureux de mon choix.
J'embrassais sonn front.
On entendis des talons raisonnés sur le sol, et Aphrodite, la beauté incarnée apparut. Elle tenait entre ses mains un livre poussiéreux.
- Eh bien. Dit-elle seulement.

- Je suis très heureux de mon choix.
J'allais répondre quand j'entendis des tallons. une rythme régulier, des petits claquements irritants.. Aphrodite.
Je me retourna violement, et l'observa, à deux pas de Apollon.
- Tiens, la déesse inutile. Comment vas-t-elle en ce jour d'été?
J'observa le livre, impossible de voir le titre, zut.

- Tiens, la déesse inutile. Comment vas-t-elle en ce jour d'été?
Mon autre soeur leva un sourcil.
- Inutile ? Parce que toi tu te crois utile ? Pauvres petits japonais...
Je me mordis la lèvre, raaah. Ca allait encore recommencer.

- Inutile ? Parce que toi tu te crois utile ? Pauvres petits japonais...
J'haussai les épaules.
- y'a trop de mortels, je fais le ménage. Je n'ai toujours pas eu l'autorisation de te virer avec, estime toi heureuse..
Je me rapprocha sans m'en rendre compte d'Apollon.

- y'a trop de mortels, je fais le ménage. Je n'ai toujours pas eu l'autorisation de te virer avec, estime toi heureuse..
Aphrodite se mit à rire.
- Le ménage ? Ah. Ben va le faire dans ma chambre, là pour le coup tu sera utile, juste une fois dans ta vie.
Elle sembla remarquer le déplacement de ma fiancée.
- Hm. j'ai appris pour tous les deux.
Elle s'approcha de moi et me mis la main sur l'épaule.
- Mon pauvre petit frère... Tu vas passer une bien mauvaise nuit.. Tu vas faire des cauchemars... Oh...
Elle me prit dans ses bras.

- Le ménage ? Ah. Ben va le faire dans ma chambre, là pour le coup tu sera utile, juste une fois dans ta vie.
- T'a que ça à faire de tes journée, tu saura le faire seule j'en suis sûre.
Je soupira quand elle dis savoir pour nous. Une remarque allait arriver.
- Mon pauvre petit frère... Tu vas passer une bien mauvaise nuit.. Tu vas faire des cauchemars... Oh...
Elle osait dire ça en ma présence en plus ! Mais quelle peste.. Puis elle le pris dans ses bras. je croisais les miens sous ma poitrine et claquai de doigts, faisait tomber sa ceinture tenant sa jupe.
- Dégage Aphrodite ou je te jure que je te laisse même pas tes dessous.

MA soeur perdit sa jupe, elle se retrouva en string. Ouais, parce qu'elle a la chance de pouvoir en metre et que ça lui aille super bien.
- Dégage Aphrodite ou je te jure que je te laisse même pas tes dessous.
Elle se mit à rire et mis son doigt sur mes lèvres.
- Mais va y ma chère soeur, je me ferai un plaisir d'être nue devant Apollon.
Je rougis et me raclais la gorge.
- Et puis, comparée à toi, je peux me permettre d'être nue sans faire croire que je sors tout juste d'un film d'horreur.

- Mais va y ma chère soeur, je me ferai un plaisir d'être nue devant Apollon.
Rah quelle conne. Je n'ai rien à perdre cela dit. Je fis de nouveau un claquement de doigts, et ce fut son haut qui tomba.
- Franchement pars il va faire une crise cardiaque en voyant des faux airbags.
- Et puis, comparée à toi, je peux me permettre d'être nue sans faire croire que je sors tout juste d'un film d'horreur.
Hein..?! Mais c'est pas vrai, mon corps est très bien, sans une once de gras vu le sport que je fais, je suis bien formée et tout..
- D'un certain côté je suis que à nous comparé il me choisit. et puis j'ai pas besoin d'être nue pour être attirante, moi/

Je rougis de plus belle en voyant son haut tombé.
- Arrêtes Athéna...Grognais-je.
Aphrodite n'en perdit pas son sourire.
- Franchement pars il va faire une crise cardiaque en voyant des faux airbags.
- Des faux ? Absolument pas. Tout est naturel chez moi...
Elle lecha ma joue, je frissonnais.
- Aphrodite ! Athéna ! Ca suffis !
Cependant, elles n'arrêtèrent pas du tout. Et moi je m’éforçais de ne pas pété un câble.
- D'un certain côté je suis que à nous comparé il me choisit. et puis j'ai pas besoin d'être nue pour être attirante, moi/
- Ah parce que tu te crois attirante ? Hm. Papa t'as trop raconté de contes de fée, tu ne fais pas la différence entre le rêve et la réalité.

- Arrêtes Athéna...
Je secoua la tête, et ignora totalement sa demande.
- Des faux ? Absolument pas. Tout est naturel chez moi..
Je ris d'un rire jaune et méchant :
- Le naturel périme vite tu sais quand c'est gros comme ça.
Puis elle lécha la joue de mon fiancé. Hum.
- Ah parce que tu te crois attirante ? Hm. Papa t'as trop raconté de contes de fée, tu ne fais pas la différence entre le rêve et la réalité.
Bon, là elle me cherche. J'enlevai ma robe à mon tour, en dessous noir. Et en string, tout comme elle.
- Voilà ma chère soeur ce qu'est un beau corps.

Je vis Athéna se déshabiller à son tour.
- Non mais ça va pas ?! Vous êtes malades ?!
Si Papa passais dans le couloir, j'étais mort.
Aphrodite regarda ma fiancée de la tête au pieds avant de rire.
- HO-RI-BLE.
Elle rit d'une rire méchant puis me sauta dessus et m'embrassa.
- Depuis le temps que je me demandais si tes lèvres étaient sucrées Apollon...
Je grognais.
- Arrêtes TT

- Non mais ça va pas ?! Vous êtes malades ?!
Je désigna Aphrodite du menton.
- Je vais bien, demande à la sangsue périmée plutôt.
Puis cette peste m'étudia et décréta que j'étais horrible.J'eus une idée et claqua des doigts. Elle se retrouva avec des dessous trop petits : certes on voyant plus mais il y avait des bourrelets. Je commenta :
- tss.. affreux.
Puis elle embrassa Apollon. Rah mais c'est pas possible..
Je la pris par l'épaule et la décolla de lui.
- Tu évite de le choquer s'il te plait.

J'agitais les mains dans tous les sens, détournant le regard.
- S'il vous plais, rhabillez vous...!
Je mis ma main sur ma bouche pour éviter les bêtises.
- Ooooh. Il est tout mignon ! Fis ma soeur.
Elle claqua des doigts et se rhabilla.

- S'il vous plais, rhabillez vous...!
Je claqua des doigts et je fut de nouveau vêtue.
- S'ilte-plait Aphrodite, dégage tu empeste les parfums pour cacher ta crase.
Je désigna la porte :
- Allez, zou.
Puis, sans autre commentaire, je partis vers la cour des anges. ma soeur m'avais de nouveau poussé au bout de mes limites >;<

Je vis Athéna partir, et voulu la rejoindre mais Aphrodite m'attrapa par la main, elle me regarda dans les yeux et je lu quelque chose de sérieux.
- Sérieusement, Apollon. Tu ne vas pas l'épouser hein ?
Mais qu'est-ce qu'ils avaient tous avec ça ?
- Ben... Si.
Elle grogna et serra ses dents parfaitement blanches.
- Putain Apollon ! Tu mérite mieux que ça ! Tu es magnifique !
Je rougis et la regardais, tout de même étonné.
- Je ne comprends pas ce que vous avez tous. Athéna est tout aussi belle que moi. Et puis, u'est-ce que la beauté hein ? Ça n'a jamais changé quoi que ce soit !
Elle sourit.
- Tu ne te rends pas compte du pouvoir qu'a la beauté Apollon. Aujourd'hui, une personne laide ne vaut rien, absolument rien. Ouranos et Gaïa t'ont donné une beauté légendaire, et tu n'en tire pas profit. Tu es idiot Apollon.
Je grognais.
- Si c'est tout ce que tu avais à me dire...
- Non. Ce n'est pas tout.
- Quoi alors ?
- Ne fais pas de connerie. Et n'oublie pas qu'avec elle, si tu fais un pas de travers dans son égoïsme incarné, ça signifie la mort de la part de ton propre père.
Je baissais les yeux et soupirai. Puis je parti vers le parc.