Tiens, que fais-tu ici ..? [Feat Apollon]

Je marchais doucement dans les couloirs, souriante et en forme. Je revenait d'une séance de massage divine!

J'ouvris la porte de la chambre qui était depuis quatre mois la mienne, et criai en voyant quelqu'un. Je referma violemment la porte, laissant la personne dedans.

J'arrivais en chantonnant tranquillement, de ma magnifique voix, ben oui je ne suis pas dieu de la musique pour rien. Je portais une toge magnifique, ressemblante à celle de l’empereur : [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]
Ma démarche était tranquille, après une courte promenade dans les montagnes, avec pour seul partenaire, ma lyre, je me sentais relaxé.
Alors que je passais dans un couloir, je remarquais ma femme, Athéna, qui était collée à la porte de notre chambre, blanche comme si elle avait vue un fantôme. Je fronçais les sourcils et eue le reflex de regarder son ventre, qui avais encore grossi.
- Athéna ? Qu'est-ce qui se passe ?Demandais-je, inquiet.

- Athéna ? Qu'est-ce qui se passe ?
Je sursautais en entendant la douce voix de mon mari, et me précipita vers lui, ne sachant ou me mettre. La personne que j'avais vu glissait quelque chose dans notre lit !
- Il y a quelqu'un dans la chambre ! en train de toucher nos affaires !
Je porta une main à mon ventre, et souffla.
- J'ai eu peur en arrivant..

- Il y a quelqu'un dans la chambre ! en train de toucher nos affaires !
Je fronçais les sourcils, étonné. Mais qui pouvait s'amuser à toucher à nos affaires ? Hm.
Je sortis mon poignard de ma ceinture et le tenait à la main, le poing sérré, je m'approchais de la poignée.
- Tu es sûre ? C'était peut être une ombre, non ?

- Tu es sûre ? C'était peut être une ombre, non ?
Je soupirai, et pris un air las.
- Bien sûr, une ombre qui soulève la couette. J'ai pas de vision hein..
Je lissai ma robe blanche, avec une sorte de longue écharpe bleue par dessus.
- Attends..
Je sortis mon propre couteau.
- Vas-y.

- Vas-y.
Je soupirai, mais demeurait inquiet tout de même.
J'ouvris la porte, laissant passé la lumière et plissais les yeux.
- A...Aphrodite ?! Mais qu'est-ce que tu fais là ?!
Ma soeur soupira, et s'assis sur le lit.
- Et merde... Dit elle.

- A...Aphrodite ?! Mais qu'est-ce que tu fais là ?!
J'en laissa tomber mon couteau, de stupeur.
- Aphrodite..!
Je partis soudain dans un éclat de rire.
- Dire que j'ai eu peur ! tu ne ferais du mal même pas à une mouche avec ta force de moineau..

- Dire que j'ai eu peur ! tu ne ferais du mal même pas à une mouche avec ta force de moineau..
Je soupirai et ma soeur grogna. Je rangeais mon couteau et vint m'asseoir près d'elle.
- Qu'est-ce que tu faisais ?
- Rien...

Je m'assis sur un divan, pas loin d'eux.
- Menteuse.
J'avais toujours su quand elle mentais. Là c'était flagrant.

- Menteuse.
Elle grogna.
- Bon toi la femme avec le gros bide, tu te la ferme.
Je grognais à mon tour.
- Bon. Aphrodite !
- Je suis désolée...

- Bon toi la femme avec le gros bide, tu te la ferme.
Cette phrase, lancée comme une pique anodine me blessa au plus profond de mon être. Je ne voulait pas être enceinte, je n'avais pas choisis, et , en effet, ma taille de mannequin avait perdu e sa splendeur. Mais je contais bien tout reperdre après !
Je grogna, me leva, partis dans la salle de bain en claquant la porte, et ferma à clé. Une fois tranquille, je m'assit sur un meuble ou était stocké les savns, et écouta la conversation.

Je vis Athéna se lever et partir, je soupirai.
- Bon, expliques, qu'on en finisse. C'est quoi ce truc là ?
- Je suis jalouse...
- Jalouse de quoi ?
Elle se mit à grogner et me pris dans ses bras, comme une enfant.
- Pourquoi est-ce que c'est elle qui porte ton enfant ?! Elle se comporte comme une enfant gatée ! Il y a je ne sais combien de femme qui révérais de porter ton fils ou ta fille, mais elle, elle ne trouve rien de mieux que de le renier, de boire pendant la grossesse, et de chialer alors qu'avoir des enfants c'est la meilleure chose qui soit ! Pourquoi tu l'a choisi elle ?!
il eue un petit silence à cette question final.

- Pourquoi est-ce que c'est elle qui porte ton enfant ?! Elle se comporte comme une enfant gatée ! Il y a je ne sais combien de femme qui révérais de porter ton fils ou ta fille, mais elle, elle ne trouve rien de mieux que de le renier, de boire pendant la grossesse, et de chialer alors qu'avoir des enfants c'est la meilleure chose qui soit ! Pourquoi tu l'a choisi elle ?!
Je plissa les nez. Je ne buvait pas pendant le grossesse, je .. goutais certains vins. Puis à la question finale, je retins mon souffle. Tiens, oui, pourquoi..
Je déglutis, et m'adossa contre la porte de la salle de bain, ne voulait pas perdre une miette de ce qu'ils disaient. Le fait que ma soeur soit jalouse, cela dit, m'a tiré un sourire.

Je répondis tout naturellement à la dernière question.
- Parce que je l'aime.
Elle grogna de plus belle et soupira.
- Ce sont des mots qui ne veulent rien dire ça !
Je ris et posais ma main sur son dos.
- C'est parce que tu n'a jamais réellement aimé quelqu'un. Quand on aime vraiment quelqu'un, on ignore toujours pourquoi on le choisi toujours, notre coeur s'emballe dès qu'on le voit, on a toujours peur de faire une bêtise, de lui faire mal, on ferai tout pour lui, on ris à ses blagues, mêmes quand elle ne sont pas drôle, on passe toujours des bon moment avec lui, on lui souris toujours, même quand on est triste, on a ce besoin intense de le prendre dans ses bras lorsqu'il est triste... Ce besoin fort de toujours faire ce qu'il faut pour qu'il soit heureux... C'st ça que je ressens. Alors tu vois, même si elle ne voulait pas d'enfant, je serais resté près d'elle, parce que quoi qu'il arrive, je l'aime et j'accepterais ces choix. C'st ça l'amour, c'est aussi simple que ça.
Aphrodite déglutis, choquée.

- C'est parce que tu n'a jamais réellement aimé quelqu'un. Quand on aime vraiment quelqu'un, on ignore toujours pourquoi on le choisi toujours, notre coeur s'emballe dès qu'on le voit, on a toujours peur de faire une bêtise, de lui faire mal, on ferai tout pour lui, on ris à ses blagues, mêmes quand elle ne sont pas drôle, on passe toujours des bon moment avec lui, on lui souris toujours, même quand on est triste, on a ce besoin intense de le prendre dans ses bras lorsqu'il est triste... Ce besoin fort de toujours faire ce qu'il faut pour qu'il soit heureux... C'st ça que je ressens. Alors tu vois, même si elle ne voulait pas d'enfant, je serais resté près d'elle, parce que quoi qu'il arrive, je l'aime et j'accepterais ces choix. C'st ça l'amour, c'est aussi simple que ça.

A travers la porte en bois, mes mains, tremblantes, s'étaient posées sur ma bouche.
Chaque fois il prenait ma défense, chaque fois il disait qu'il m'aimait.. Je sus à cet instant que je ne pourrais jamais vivre sans lui. J'allais me lever pour le rejoindre, mais me rapellai que tout ça ne justifiais pas la présence de ma soeur, je n'en fis don rien, la main sur la poignée.

Aphrodite soupira.
- Bon. Alors, qu'est-ce que tu comptais faire ?
Elle leva les yeux vers moi, elle enviais énormément Athéna.
- je mettais... Du poison pour le bébé.
- Du poison ?
- Oui, il faut que la femme l'est sur le ventre et le bébé meurt. Alors je me suis dis que si j'en mettais sur le lit, ça marcherais.
Je ne pus m'empêcher d'éclater de rire.
- Quoi ? Dit-elle.
- C'est que, c'est mon coté ça ^^
Elle soupira.

Je ne pus, derrière la porte, m'empêcher de pouffer. Quelle idiote..
Je porta ma main à mon ventre, et pour la première fois, je souffla à mon enfant des paroles :
- Ta tante c'est une idiote ..

Je m'étirai et regardais ma soeur.
- Bon. Tu ne recommencera plus ?
A mon plus grand étonnement, elle se jeta sur moi, me faisant tomber en arrière, se mit sur moi, j'écarquillais les yeux et sur l'effet de la surprise, ne la repoussais pas de suite.
- Qu'est ce que...?!
- Choisi moi Apollon. Je divorcerai d'avec Héphaïstos. Choisi moi, je porterai tout les enfants que tu voudra, je serai la meilleure femme au monde, je te ferai tout ce que tu voudra... Choisi moi.
Je déglutis.

J'entendis du bruit, puis ces mots de ma soeur :
- Choisi moi Apollon. Je divorcerai d'avec Héphaïstos. Choisi moi, je porterai tout les enfants que tu voudra, je serai la meilleure femme au monde, je te ferai tout ce que tu voudra... Choisi moi.
Je fis de grands yeux ronds, mais je n'avais même plus la force de pousser la porte. Elle voulait mon mari, ma famille..

Je me relevais, d'un geste brusque.
- Quoi ?! Mais non !
Mais elle n'était pas du tout décidée à arrêter et me serra contre elle, je grognais.
- Arrêtes, Aphrodite, arr...!
Elle ne me laissa pas finir, m'embrassa avant que je puisse faire quoi que ce soit.

- Arrêtes, Aphrodite, arr...!
Intriguée, j'ouvris la porte et les vis. Incapable de bouger, les bras le long du corps, je les regardais. Puis, poussée par une force inconnue, je m'approcha d'Aphrodite, le décolla de mon mari. Mais, au lieu de prendre sa place, je me recula, et m'assit contre le mur, choquée, et j'observais ma soeur, au sol.

je repris mon souffle après que ma femme m'eus décollé, je posais ma main sur mon poitrail, dieu, comme j'avais eue peur.
Aphrodite se mit à grogner et serra les dents, puis elle s'humidifia les lèvres.
- Au moins, j'aurais eue ce que je voulais ! Mais ne t'inquiète pas Apollon, j'aurai bientôt plus...
Puis elle sortit, j'essuyais mes lèvres avec ma main.

- Au moins, j'aurais eue ce que je voulais ! Mais ne t'inquiète pas Apollon, j'aurai bientôt plus...
Je grogna, et la regarda sortir d'un air mauvais. Quelle emmerdeuse !
Je me leva, et s'assit sur les genoux d'Apollon.
- ça va..?

- ça va..?
Je la regardais et la pris dans mes bras.
- Je suis désolé Athéna, j'ai pas réagit de suite...

Je lui souris, d'un sourire compréhensif.
- Je te crois.
Puis je sentis un truc au ventre, et baissa les yeux.
- Il.. elle a bougé ..!