Le bal. [ Feat Andromaque. ]

- Ne te méprend pas. Je veux me venger. Voilà toute ma vie que cette garce...
Je suivis la direction qu'elle m'indiquait des yeux. ET observa la jeune fille, plus-tôt belle, mais pas mon genre.
- Me largue avec ses copains en les embrassant. Laisses moi me venger, s'il te plais !
Je grognais doucement avant de soupirer et de me résigner.
-Bon d'accord, okay, je marche....
Je mis une main sur sa hanche et l'autre sur sa joue.
Puis je le regarda dans les yeux.

-Bon d'accord, okay, je marche....
Je ris.
- Merciiii !
Dès qu'il posa sa main sur ma joue, je me sentis... Si bien...
Ah non ! C'eest juste pour me venger que je fais !
J'ai vit qu'il était près, attirait l'attention de ma cousine sur moi, vit qu'elle me regardait et me mis sur la pointe des pieds, scellant mes lèvres et ceux de mon cavalier.

Quand je sentis ses lèvres sur les miennes, un petit sourire se dessina a travers notre baiser.
Je caressais tendrement sa joue et regardais du coin de l’œil la réaction de sa cousine.
Je serais Artémis dans mes bras.

Je regardais ma cousine du coin de l’œil et vit qu'elle était en train de grogner, je sourit à travers le baiser, parfait. Je posais ma main froide mais moins qu'habituellement sur la joue de mon cavalier et l'embrassais langoureusement, n'hésitant en aucun cas à mettre le paquet.

Je frissonna doucement et décolla nos lèvres.
Je m'approcha de son oreille et lui murmura.
-Je pense que c'est bon elle à du voir là non...
Puis je la lâcha et et lui souris.

-Je pense que c'est bon elle à du voir là non...
Je rougis, ayant le sentiment d'être aller un peu trop loin.
Je lui souris néanmoins, avec mon petit sourire gêné.Aphrodite revint vers moi, furieuse.
Je la regardais.
- Qu'est-ce qu'il y a ? Ça n'a pas l'air d'aller ?
Elle prit une mine dépitée.
- J'ai des ennuis avec un mortel...
Je fronçais les sourcils;
- Comment ça ?
- Je suis enceinte...
- Encore ?! M'exclamais-je. Mais vous ne pouvez pas utilisé un préservatif ?!
Elle grogna.
- C''est plus agréable sans, tu le découvrira, pucelle.
- Je ne le suis pas TT.
- Peut m'importe.
- Et donc ? Tu vas faire comment ?
- Comme d'hab. Je garde le bébé, j'accouche, je le donne au papa et j'me casse.

Je lui souris à mon tour voyant qu'elle était gênée.
J'aurais aimé li dire de ne pas l'être mais....L'arrivée de mère m’en empêcha.
- Je suis enceinte...
Je restai bouche bée à la regarder.
- Comme d'hab. Je garde le bébé, j'accouche, je le donne au papa et j'me casse.
J'étais décontenancé de l’attitude qu'elle avait, alors ca c'était passé comme ca pour moi aussi?
-T'as pas honte?
Les mots étaient sortis tout seul, j'avais le regard dur, les éclaires dorés étaient revenus dans mes yeux.

-T'as pas honte?
Je me tendis à la phrase de mon cavalier, je serrais les dents.
Moi non plus je ne trouvais pas le comportement de ma soeur exemplaire, et je haissais ce coté "j'me fou des mortel" qu'elle avait mais...
° Oh non... Tétoi... °
- je vous demande pardon ? Demanda Aphrodite;

- je vous demande pardon ?
Ma voix était aussi dur que mon regard. Quand je regardais ma mère j'avais l'impression de me voir, les mêmes yeux, le même nez, et ça me dégoutais.
Je répétais un peu plus forts mes mots.
- Je me répète si tu n'as pas bien entendus: Tu n'as pas honte de toi là ?
Ca avais beau être ma mère je ne pouvais pas la laisser agir comme ça.
-Tu te comporte comme une garce, avec 1) ton mari, 2 ) Tes amants et 3 ) tes enfants!

Je regardais Andromaque, étonné par la puissance de sa voix, et cette haine qu'il déversais.
Aphrodite leva un sourcil.
- Et, on peux savoir qui vous êtes monsieur je-traite-les-filles-de-garce ?

- Et, on peux savoir qui vous êtes monsieur je-traite-les-filles-de-garce ?
Je serrais les dents et inspirais profondément pour lâcher le morceaux avec le plus d'indifférence et de hargne possible.
-Ton fils!

- ton fils !
Et là, Aphrodite eue la plus horrible des réactions, celle ci :
- Ah okay. on bah salut.
Elle me regarda.
- J'me disais bien qu'il étais mignon. Te tape pas mon fils toi.
Je grognais.
- Je me le tape pas !
Elle partit. Je regardais Andromaque.

- Ah okay. on bah salut.
Ma respiration se coupa.
-Salope..
Je voulais juste le penser mais je crois bien l'avoir dis tout haut...
- J'me disais bien qu'il étais mignon. Te tape pas mon fils toi.
Je grognais à moitié anéantis et dis quand même assez fort.
-Elle fait ce qu'elle veux!
Je tourna les yeux vers Artémis.

-Elle fait ce qu'elle veux!
J'écarquillais les yeux, ma soeur gifla le garçon.
- On ne traite pas sa mère de salope, je crois que ton idiot de père t'a mal élevé.
Puis elle partit avant qu'il ne puisse la toucher ou faire quoi que ce soit.
Mon cavalier avait une énorme trace rouge sur la joue, je serrais les dents.
- Mon Dieu ! Je suis désolée Andromaque ! Vraiment !

- On ne traite pas sa mère de salope, je crois que ton idiot de père t'a mal élevé.
Je mis ma main à l'endroit ou elle m'avait frappé.
Et j'ai crié fort:
-Tu n’est pas ma mère, je ne te ressembles en rien et au moins mon père était là pas comme toi il allait pas faire on se sais quoi avec tout les mortels du coin!
Je me tourna vers Artémis.
-Ouais ça va, je m'en vais salut.
J’enlevais ma cravate un geste sec ainsi que ma veste dans la quelle j'avais trop chaud.
Je me retournai une dernière fois.
-Au faite n'ayez pas honte, ele ne sort pas avec moi.
Puis je partis vers un balcon.

-Ouais ça va, je m'en vais salut.
Je restais là. En plein milieu de la pièce. Tout les invités me regardait. J'avais les yeux grands ouverts. Le regard bas, vers le sol.
Que vais-je faire maintenant ? Je ne le reverrai plus ?
Il disparu sur un balcon. Je restais toujours là, sans bouger. Aphrodite revint vers moi, elle me posa la main sur l'épaule.
- T'inquiète pas petite soe...
J'enlevais la main d'un mouvement brusque et grogna.
- Ne me touches pas.
Je tirais sur ma superbe robe azur, qui s'arracha jusque mes chevilles, enlevais mes talons, passais ma main sur mon visage et courrait.
Je courrais vite, trop vite, très vite. Je regardais tout les balcons un par un, à la recherche de son visage, de sa silouhette.
Je l'aperçu enfin, entrait et claquais d'un grand coup la porte en vitre. Je reprenais mon souffle.

J'étais sur le balcon à regarder dehors, ma veste par terre, ma cravate à ses cotés, ma chemise ouvertes sur les 2 premiers boutons et les dents serrées
J'entendis la porte se claquer. Je soupirais et me retournais, sur de la personne que j'allais voir.
Je la regardais de haut en bas, les mains dans les poches adossé à la rambarde du balcon.
Je déssérais les dents instantanément et m'approcha d'un pat.
-Artémis....qu'est ce que tu as fais à ta robe?

-Artémis....qu'est ce que tu as fais à ta robe?
J'essayais de reprendre mon souffle et m'appuyais sur une colonne en pierre, je grognais.
- T'es idiot ou quoi ?! Après tout ça, tu me dis "je m'en vais salut". Tu crois quoi ? Que je vais te laisser te casser ? Petit 1 : Tu peux pas rentré chez toi tout seul. petit 2) Si tu y arrive... Je ne te reverrais jamais... ET CA JE NE LE PERMETTRAI PAS !

- T'es idiot ou quoi ?! Après tout ça, tu me dis "je m'en vais salut". Tu crois quoi ? Que je vais te laisser te casser ? Petit 1 : Tu peux pas rentré chez toi tout seul. petit 2) Si tu y arrive... Je ne te reverrais jamais... ET CA JE NE LE PERMETTRAI PAS !
Je restais la regarder la bouche entrouverte, les mains toujours dans les poches.
Elle avait raison, j'aurais trouvé le moyen de partir et de ne jamais revenir, de ne pas donner de nouvelles, d'oublier ma mère et tout les autres dieux.
Je poussa un looong soupire, avant de m'avancer de la prendre dans mes bras comme dans le temple.
-Je suis désolé...je ne peu pas rester...

-Je suis désolé...je ne peu pas rester...
Je serrais les dents, et fis quelques choses qui était extrêmement dur pour moi.
Je le repoussais, le poussant de mes bras puissant, rompant le câlin.
- Alors... Alors ne me prends pas dans tes bras comme ça... Ne me fais pas encore plus mal ! Ne me fais pas regretter d'être une déesse ! Ne me donne pas envie de tout quitter et d’envoyer chier tout le monde ! Arrêtes. Arrêtes... Te quitter sera déjà beaucoup trop dur...
Je posais mes paumes glacé sur mes yeux, pour cacher mes larmes. Ces toutes petites goutes argentés qui naissaient au creux de mes yeux.
- Espèce de crétin... Je t'avais dis que tu ne pouvais plus... Me faire mal...

- Alors... Alors ne me prends pas dans tes bras comme ça... Ne me fais pas encore plus mal ! Ne me fais pas regretter d'être une déesse ! Ne me donne pas envie de tout quitter et d’envoyer chier tout le monde ! Arrêtes. Arrêtes... Te quitter sera déjà beaucoup trop dur...
Je ne dis rien me rendant compte qu'elle tenait à moi plus qu'elle ne le laissait paraître.
Je déglutis péniblement.
- Espèce de crétin... Je t'avais dis que tu ne pouvais plus... Me faire mal...
-Si seulement ça pouvais être vrai...j'aurais eu moins mal de te quitter...
Je regardais le sol conscient des petits yeux qui nous regardaient par la fenêtre. Dont je le suppose ceux de ma mère.
-Et oui, je suis un crétin, un crétin qui c'ets promit de ne jamais aimer une déesse, et qui commence à rompre sa décision.
Je posa ma main sur sa joue et enleva une de ses mains, pour essuyer ses larmes de mon pouce.

-Et oui, je suis un crétin, un crétin qui c'ets promit de ne jamais aimer une déesse, et qui commence à rompre sa décision.
Je le sentis essuyer mes larmes, je le regardais et clignais des paupières.
- Qu...Qu'est-ce que tu dis ?!

- Qu...Qu'est-ce que tu dis ?!
Je le regarda.
-Que je suis un crétin.....
Un petit sourire naquit au coins de mes lèvres.
-Je suis désolée.
J’enleva ma main de sa joue et recula pour prendre mes affaires.
-Adéla mattend...

-Adéla mattend...
Je baissais les yeux et m'asseyais sur le sol. les yeux bien fatigués, bien las...
- Oui... La fille au chien.

- Oui... La fille au chien.
Je hochai la tête.
-Ma petite sœur oui...
Je soupira la regarda puis le ciel.
Je me rapprocha et m'assis près d'elle, les genoux dans les bras.