Hey ! On se connais non ? [Cassy']

En marchant dans le couloir, j'avais croisé père, dehors, il écrivait. Ca devait faire des lustres qu'il n'avait pas écrit, et il semblait de plus très inspiré. Ce qui me fis sourire, je le rejoignis.
- Qu'est-ce que tu écris papa ? Avais-je demandé.
Il m'avait lu à haute voix :
-Bientôt nous plongerons dans les froides ténèbres ;
Adieu, vive clarté de nos étés trop courts !
J'entends déjà tomber avec des chocs funèbres
Le bois retentissant sur le pavé des cours.

Tout l'hiver va rentrer dans mon être : colère,
Haine, frissons, horreur, labeur dur et forcé,
Et, comme le soleil dans son enfer polaire,
Mon coeur ne sera plus qu'un bloc rouge et glacé.

J'écoute en frémissant chaque bûche qui tombe ;
L'échafaud qu'on bâtit n'a pas d'écho plus sourd.
Mon esprit est pareil à la tour qui succombe
Sous les coups du bélier infatigable et lourd.

Il me semble, bercé par ce choc monotone,
Qu'on cloue en grande hâte un cercueil quelque part.
Pour qui ? - C'était hier l'été ; voici l'automne !
Ce bruit mystérieux sonne comme un départ.

J'aime de vos longs yeux la lumière verdâtre,
Douce beauté, mais tout aujourd'hui m'est amer,
Et rien, ni votre amour, ni le boudoir, ni l'âtre,
Ne me vaut le soleil rayonnant sur la mer.

Et pourtant aimez-moi, tendre coeur ! soyez mère,
Même pour un ingrat, même pour un méchant ;
Amante ou soeur, soyez la douceur éphémère
D'un glorieux automne ou d'un soleil couchant.

Courte tâche ! La tombe attend ; elle est avide !
Ah ! laissez-moi, mon front posé sur vos genoux,
Goûter, en regrettant l'été blanc et torride,
De l'arrière-saison le rayon jaune et doux !

j'avais fais de grands yeux, c'était superbe. Il 'mavait ensuite proposé d'aller au SPA et je me faisais masser.

J'entra dans la pièce, rejoignant ma collègue qui s'occupait d'Hydron, pour lui passer les huiles. Je ne regardait pas les clients, et ne le reconnnu donc pas.
Je passa la première huile, en lui disant :
- Huile d'argan, tiens.

Je reconnu une voix familière et levais la tête, je reconnu Cassy'.
- Tiens donc !

Je sursauta, et le pot tomba au sol, se versant sur le banbou. La patronne, grincheuse, me cria dessus, et je pris une serviette pour nettoyer. Elle s'adressa à hydron.
- excusez-la, c'est une bécasse qui est là depuis peu !

Je regardais la patronne.
- Un bécasse hein ?
Je me levais, m'approchais de Cassy, la relevais et l'embrassais tendrement, jute pour l'embêter.
- Moi j'laime bien.

Je me dégagea, et lui jetta le chiffon à la figure.
- trouve un autre jouet, espèce de ..
Je clignais des yeux.
- de.. euh..
Puis je posa une main sur mes lèvres. J'avais tellement eu envie de me laisser faire..

- trouve un autre jouet, espèce de ..
Je la rammenais à moi en levant un sourcil.
- De ...?
je caressais sa joue, la voyant troublée.

Je recula.
- laisse moi tranquille !
Je courru plus loin, et me cacha dans une cabine, tremblante. Sa main si douce, sur ma joue, m'avais réveillé mes anciennes douleur, et surtout un sentiment inconnu, effrayant.

Mon père releva la tête, les cernes sous ses joues ne troublaient pas sa beauté masculine unique.
- Hein quoi ?
Il n'avait pas dormi de la nuit, essayant en vint de convaincre sa femme de porter sa petite nuisette transparent mais elle n'avait pas cédé, se trouvant trop grosse dedans. Ca ne les avait pas empêcher de faire l'amour toute la nuit ...
Je rejoignis Cassy'.
- Tu me boude ?

[A]
Je marchais, cherchant mon mari, pour un duel d'épée. En effet, il refusais toujours, mais j'étais bien décidée à le faire cédé. Je le vis enfin, et m'approchais de lui.
- Apo'..?

--

[C]
Je secoua la tête.
-non. Mais d'ou tu a cru que tu tu avais le droit de faire ça?!

[A]

Je reposais ma tête sur l'oreiller, d'immenses cernes sous mes yeux. Je me mis à m'endormir à demi jusqu'a entendre la voix familière de ma femme qui 'mappelais, je ne répondis pas, crevé.

[I]

Je la regardais longuement, en silence. Puis je fini par répondre d'une voix si calme qu'elle ne me ressemblais pas.
- Tu m'en veux de t'avoir fait cela ?

[A]

J'entra dans la chambre, et le vis.
- apo, je..
Le ménage ayant été fait, mes sandales glissaient, et je tomba lourdement au sol, me cognais le ventre contre une table basse. Je poussa un burit sourd, et ma vue se brouilla.

[C]
Je me mordis la lèvre.
- non. Je ne t'en veux pas.
C'était la vérité. J'avais même envie qu'il recommence..

[A]
- apo, je..
J'ouvrais un oeil et la vue de ma femme au sol inconsiente mon fit pousser un cri d'éffroi. Je me précipitais vers elle.
- Athéna ! Athéna !

[I]
Je lui souris gentiment et l'attirais à moi pour l'enlacer.
- Je suis désolé, je ne recommencerais plus...

[H]
Je le regarda, tordue de douleur, ma main sur mon ventre, incapable de parler, des larmes dans les yeux.
Mon coeur ralentis peu à peu.

[C]
Je ferma les yeux, et posa une main sur son épaule.
- je n'ai pas dis ça, moi..

[A]
J'appelais de l'aide, effrayé.
- De l'aide, vite !
Je pris la main d'Athéna.
- Ma chérie restes avec moi !

[I]
Je fronçais les sourcils.
- Alors qu'est-ce que tu veux exactement ?

Je ferma les yeux, et mes muscles se détendirent.
Zeus passais, et appela immédiatement Asklépios. Il s'approcha, dis très vite :
- que s'est-il passé? ou s'est-elle fait mal?!

{C]
J'inspirais un grand coup, et posa mes lèvres chaudes et douces sur les siennes, fraiches.
Ce contact si tendre me fis du bien, et je l'accentua doucement.

[A] Affolé, je me mordis la lèvre pour me forcer à être calme.
- Elle est tombée, d'un coup, je crois qu'elle s'est cognée !

[I]
Je fis de grands yeux face à ce contact mais me surpris à lui rende son baiser tendre. Je posais ma main sur sa joue.

[A]
Zeus grogna, la fis porter sur le lit, et un filet de sang s'échappa d'entre ses jambes. D'entre mes jambes. Je luttais, voulant faire ce combet, mais une douleur me plaquais, me tordais.
Asklépios arriva, et fronça les sourcil.
- Elle s'est cognée?
Il pris le pouls.

[C]
Je reculais doucement.
- ho, désolée, je n'aurais pas dûs.. pardon..

- Elle s'est cognée?
J'avalais ma salive et mon manque de sommeil me fit tourner la tête.
- Je l'ignore... Je n'ai rien vu...

Je souris doucement et gardais ma main sur sa joue.
- Moi ça ne me dérange pas du tout Cassandre...

Le médecin demanda aux hommes de sortir, pour observer les dégats, voyant bien le problème.
- elle s'est cognée au ventre en tout cas.
Zues sortis.

[C]
Je secoua la tête.
- non, c'ets impossible. Tu es un dieu, et tu es un homme..

- elle s'est cognée au ventre en tout cas.
Je me mordis la lèvre.
- Est-ce que... Elle risque de perdre le bébé ? Est-ce que je risque de la perdre ?



Je penchais la tête sur le coté.
- Oui je suis bien du sexe masculin, tu peux vérifier si tu veux ^^'. Mais je ne vois aps le problème à cela. A part si tu es lesbienne... Je comprendrais tout à fait...

Le docteur souleva ma toge, et m'observa.
- aie, le travail s'est déclenché bien trop tot.. Je crains que l'une des deux ne puisse vivre. Soit je sacrifie Athéna, pour sauver ta fille, soit je fais sortir ta fille vite pour sauver ta femme. IL faut te décider vite, je suis désolé, mais sinon on les perds les deux. Je te laissse quelques minutes.

[c]
Je ris doucement, et posa une main sur son jean.
- c'est bon, t'a pas menti. Et non je suis pas lesbienne.

[A]
Je ripostais d'une voix étranglée.
- Q...Quoi ? Attends ! Tu ne peux pas me demander de choisir ! J...Je ne sais pas... Je ...

[I]

Je rougis en sentant sa main et rit doucement.
- Encore heureux que je ne mens pas !
Je m'approchais de son visage.
- T'es pas aussi innocente que t'en as l'air en fait.