La petite maison dans le village (Mit Artémis)

-Hum...tu me fais penser à une déesse en faite...
Je lachais un petit rire, ne pouvant m'en empêcher.
- Ah oui ? Laquelle ? La déesse de la chasse, Artémis ?

- Ah oui ? Laquelle ? La déesse de la chasse, Artémis ?
Adéla hocha la tête.
-Ouiiii elle! Elle est forte et en plus elle ets belle!
Elle sourit.
-Je vais tout simplement t’appeler Artémis c'ets parfais!

-Ouiiii elle! Elle est forte et en plus elle ets belle!
Je souris.
- Tu l'as déjà vue ? peut être est-elle laide ? Qui sais ?

- Tu l'as déjà vue ? peut être est-elle laide ? Qui sais ?
Je ris à cette réplique et regarda ma sœur.
Adéla secoua sa chevelure blonde.
-Une déesse c'est jamais moche!

-Une déesse c'est jamais moche!
Je ris et l'invitais à venir sur mes genoux.
- Qu'est-ce que tu ferai si j'étais une déesse ?

- Qu'est-ce que tu ferai si j'étais une déesse ?
Je regardais Adéla prendre place sur les genoux d'Artémis.
Elle réfléchit un instant.
-Hum... je sais pas je serais contente non ?
La question s'adressait à moi bien sur.
Je ris.
-Oui ou, tu serais contente!

Je souris, et fit signe à Adélia d'aprocher son oreille, pour lui dire un secret, une fois cela fait, je lui demandais :
- Tu crois que ton frère serais capable d'aimer une déesse ?

- Tu crois que ton frère serais capable d'aimer une déesse ?
Adélia resta la regarder un instant et lui répondit à son tour dans son oreille.
-Non, je pense pas.....

-Non, je pense pas.....
Je lui souris et la serrais gentiment dans mes bras.
- Alors je n'en suis pas une, tu vois.

- Alors je n'en suis pas une, tu vois.
Adélia sourit et la regarda.
-Mon frère il t'aime ?
Elle fit de grands yeux.

-Mon frère il t'aime ?
Mes joues se colorèrent legerement. Je souris.
- Je ne sais pas, il faudra que tu lui demande ^^

- Je ne sais pas, il faudra que tu lui demande ^^
Je regardais Artémis avec un petit sourire.
Ma sœur se retourna vivement vers moi, les yeux pétillants.
-Andromaque, dis tu l'aime ??
Je plissa le nez et fit l'aller retour entre Artémis et Adélia.
-Hum...je sais pas j'en suis pas très sur.....enfin de compte....
Ma soeur baissa les yeux et joua avec ses doigts déçue.
Je jetais un coup d'oeil à la Déesse près de moi.
Elle était si rayonnante et si parfaite, et je voyais que ma sœur l'aimait beaucoup.
Je Passa ma main dans les cheveux d'Adélia.
-Hey je déconnais, bien sur que je l'aime...

-Hum...je sais pas j'en suis pas très sur.....enfin de compte....
Je fus surprise de cette réponse et tournais la tête sur le coté. Adélia parut aussi déçue que moi.
-Hey je déconnais, bien sur que je l'aime...
Un sourire rayonnant aparut sur mon visage et je repris ma gaïetée.

Ma sœur se jeta à mon cou en riant heureuse.
Pendants que je parlais j'avais regardé Artémis près de moi, j'avais son expression changer du tout au tout en m'écoutant.
Ma soeur me lâcha, et j'en profitais pour prendre Artémis dans mes bras et lui murmurer à l'oreille.
-Ne t'inquiète pas pour ca..tu le sais bien.

Il me prit dans ses bras, et une chaleur douce et rassurante m'envloppa. Il était tellement chaud, tellement doux, tellement beau... Tellement... Parfait. Tout mes problèmes disparurent, ne me laissant qu'une sensation de bonheur intense.
- Ne t'inquiète pas pour ca..tu le sais bien.
Il avait raison, comment avais-je pus en douter ?
- Idiot... Soufflais-je affectueusement.

- Idiot...
Je souris et embrassa sa joue doucement avant de descendre vers ses lèvres.
Ma sœur avait son regard espiègle.
-Houuuu des amoureux des amoureux!
Elle se leva et remonta les escaliers vers la maison en continuant de crier cette phrase à tout bout de champs.
Je grognais.
-Elle va avertir tout le monde là....désolé...

-Houuuu des amoureux des amoureux!
Je ne pus me retenir de pouffer à travers le baiser, je m'excusais ensuite. Je la vis partir.
-Elle va avertir tout le monde là....désolé...
Je l'attirais à moi d'un air possesif.
- Tant mieux. Au moins, tout le monde sera que tu es à moi.

- Tant mieux. Au moins, tout le monde sera que tu es à moi.
Je fis un grand sourire.
-En même temps je ne vois pas qui voudrait me piquer, pas les filles du village en tous cas...
J'entendis des pas dans l'escalier et la serrai contre moi.

Diane restait près de moi. j'essayais d'immaginer la têe de la personne qui allait entré quand elle allait voir un animal sauvage dans une chambre. Ca me fis sourire.
- En même temps je ne vois pas qui voudrait me piquer, pas les filles du village en tous cas...
J'haussais les épaules.

Tout les gens avertis débarquèrent ma sœur en premier.
-Andromaque à une petite amie!
Ma belle mère un grande femme à la peau bronzé et aux cheveux blond débarqua dérrière un sourire étincelant sur le visage.
Puis vînt le tour de ma seconde sœur, tout à fais différente de la petite elle avait 18 ans déjà celle-là.
Mon père arriva déjà au courant mais heureux, puis ma grand-mère qui vivait ici aussi arriva à son tour.
C'était une petite dame courbée sur elle même, elel avait de longs cheveux blanc rassemblés en natte sur la tête, un châle sur les épaules par tout les temps, et un vieux chat qui la suivait partout.
Elle avait près de 98 ans maintenant et marchait sans cane, et sans aide, elle n'avait pas toujours toute sa tête et racontait parfois des choses bizarres.
Ma belle mère avait un grand sourire sur les lèvres jusqu'à voir Diane allongée près de nous, son sourire se figea mais elle ne dit rien.
Adéla nous rejoint et s'installa entre nous.
Mon père se tenait à la porte ne disant rien et ma soeur, l'autre, celle de 18 ans, nous regardait blasée.
Ma grand-mère s'approcha lentement et regarda Artémis de près.
Puis elle fit de gros yeux.
-Andromaque, tu ne sais pas dans quoi tu t'es engagé avec cette...fille..sais-tu au moins qui elle est ? Oui j'en suis sur, veux tu faire comme ton père ?
Je restais la regarder mes bras enlaçaient, la déesse.
-Grand mère...oui...je enfin..
Mon père me regarda étonné venant de comprendre à son tour.
- Tu le sais et tu l'as quand même fais..je ne te comprends pas..
Cette vieille femme avait toujours été très superstitieuse..Elle avait deviné d'un regard qui était la jeune femme que je tenais dans mes bras.

[j'incarne Artémis]
J'écoutai attentivement la conversation de chacun et me rendit compte qu'ils avaient découvert qui j'étais... Je pris une inspiration.
- Monsieur, madame, vous tous. Je comprends vos craintes à mon égard. Je sais comme ma sœur à pût vous faire souffrir et j'en suis affreusement désolée. Cependant, je ne peux pas présenter mes excuses à la place des siennes, parce que je ne suis pas elle. Et c'est justement parce que je ne suis pas elle, que je peux vous jurer que je ne reproduirais pas ces gestes. Bien évidemment je devine le fait que vous êtes sceptique, parce que ce ne sont que des paroles et vous vous méfiez. Mais... Je vous jure que j'aime sincèrement Andromaque, à un point inimaginable, vous pouvez me croire, ou non. Mais moi, je suis prête à tous pour lui,tous.

Je restais la regarder Artémis, fière de tout ce qu'elle avait dit, fière d'être tombé amoureux d'elle.
Je lui souris et tournais le regard vers ma grand-mère.
Celle-ci prit la parole:
- J'entends vos paroles, mais j'ai du mal à y croire, vous les dieux, n'êtes pas instables, vous changez d'avis comme d'habits, ce n'est pas une habitude que nous apprécions. Je vois que vous aimez mon petit fils...pour le moment Déesse, mais dan s1 ou 2 ans, vous trouverez un autre joujou, plus jeune, et peut-être un immortel, qui ne vieillira pas, et Andromaque sera seul....comme l'a été mon fils .
Je grognais. Mon père ajouta.
-Je ne veux pas qu'il lui arrive ca...

J'écoutais attentivement le discours de la vieille femme. Et fit un sourire noble et parfait, comme à mon habitude.
- Sâchez madame, que votre petit fils ne sera jamais seul, puisque je suis prête à faire tout ce qu'il faudra faire pour vous convaincre que je ne m'en lasserais pas. Je suis prête à tout pour qu'il ne se retrouve jamais seul. J'ai d'ailleurs rompu mon serrement pour lui.

Je soupira, ma grand-mère m'aimait, mais elle s'inquiétait trop pour moi, je me leva et pris Adéla dans mes bras qui regardais Artémis avec de grands yeux ronds. Je la fis sortir plus loin avec Cerbère avant de revenir.
Pendant ce temps Ma grand-mère toisait la jeune femme restée seul sur le lit.
-Je vous le laisse, mais si vous lui faites du mal, vous entendrez parler de moi....
Je revins à ce moment là.
-Grand-mère, laisse là s'il te plais!
Elle me regarda et hocha la tête.
Je me rassis sur le lit et attirai la femme que j'aimais contre moi.

Je tendais la main vers Andromaque lorsqu'il la pria de me laisser.
- Laisses. Elle a tout à fait raison de se méfier.
Je le laissais m'attirer à lui et songeais à quelque chose d'important :ses souvenirs...