La chasse, ça deviens ennuyant quand on ne rate jamais sa cible.

J'arrivais, faisant craquer les branches sous mes mains, mon arc tout près de moi, comme d'habitude. mes yeux transparents traversèrent la pièce du regard, je cherchais la proie...
Diane restait tout pr_s de moi, sans un bruit, elle ne bougeait pas.
Mes oreilles vibrèrent en entendant le bruissement d'un buisson. Je souris, parfait.
Je pointais mon arc vers la direction et tira.
CHTONNG.
j'entendis un petit cri, comme un cri d'agonie, m'avançais, découvrit un lapin.
- Merci d'avoir sacrifié ta vie.
Et je lui retirai d'un mouvement souple la flèche, et il mourru. J'accorchais la proie.

J'arrivais à mon tour, ne me figurant pas que j'étais sur le terrain de chasse de notre déesse préférée.
Ma petite sœur riait accrochée à moi, regardant le paysage.
Je l’enlaçais et continuais d'avancer lentement à travers les buisson, parlant et rigolant.

Une biche sauvage passa tout près d'Andromaque et de sa soeur, je la visais, et comme je ne ratais jamais ma cible, elle prit la flèche en plein coeur.

Ma jeune sœur poussa un cris en voyant la biche s’effondrer avec un flèche dans le cœur.
Je la poussais dérrière moi.
-Ho on est là Arrêtez de tirer s'il vous plais!
Je sortis mon arc à mon tour.
Ma sœur fonça vers la pauvre Biche.

La biche mourru sur le coup.
-Ho on est là Arrêtez de tirer s'il vous plais!
J'avançais et me rendis compte qu'il sagissais du héros. Cependant, aucune émotion ne se lu sur mon visage, je rangeais mon arc. je m'approchais de la biche et regarda la petite fille. Elle était mignonne. Bref.
J'arrachais la flèche du coeur de l'animal et regardais Andromaque avec un regard mauvais.
- Tu es sur un terrain de chasse. Tu devrais le savoir, c'est marqué à l'entrée. Qu'aurais tu fais si c'était ta soeur qui avais reçu cette flèche à la palce de la biche ?
Diane curieuse, s'approcha de la petite fillee et regarda si elle n'avais pas à manger sur elle.

- Tu es sur un terrain de chasse. Tu devrais le savoir, c'est marqué à l'entrée. Qu'aurais tu fais si c'était ta soeur qui avais reçu cette flèche à la palce de la biche ?
Je fixais la jeune femme devant moi.
Ma sœur était horrifiée du geste qu'elle avait fait.
-Ce n'étais pas marqué là ou nous sommes entrés!
Je pris la main de ma jeune sœur pour l'éloigner de Diane.
-Je t'aurais pourris jusqu'à la fin de ma vie! Ma mère m'aurait aidé, tu étais en tors.
Je serai ma sœur contre moi qui pleurait contre mon torse.

Je grognais en voyant Diane s'approcher.
- Diane. Coucher.
Celle ci s'executa devant mon ton agacé.
-Je t'aurais pourris jusqu'à la fin de ma vie! Ma mère m'aurait aidé, tu étais en tors.
Je me mis à sourire, comme toujours, mon sourire de chapelière;
- Ta mère ne t'aurais aidé dans aucun cas. Elle me crains. Et que peux tu bien faire toi, simple mortel ?
Puis la biche ensanglantée se releva comme par lagie, plus aucun sang ne coulait de sa blessure, interessée, elle s'approcha de moi, je la caressais et lui ordonnais.
- Pars. Et la prochaine fois, sois plus performante, je t'ai eue trop facilement.
Elle hocha la tête, comme si elle eue compris et partis. Diane resta couchée.

- Ta mère ne t'aurais aidé dans aucun cas. Elle me crains. Et que peux tu bien faire toi, simple mortel ?
-Tu sais très bien ce que j'aurais pu te faire... Et je sais que ca t'aurais fais mal!
Ma sœur moi regardèrent la biche se relever.
Adéla ma sieur tenait mon T-Shirt dans sa main et fixait la biche, puis elle tourna les yeux vers Artémis avec méfiance n'ayant pas encore compris qui elle était mal grès le "mortel"

-Tu sais très bien ce que j'aurais pu te faire... Et je sais que ca t'aurais fais mal!
Je ris, de mon rire de folle dégénérée par la solitude.
- Tu ne peux plus rien me faire maintenant. Mortel.
Diane se releva tant bien que mal, voulant jouer, elle me tira sur la toge, je l'ignorais.
- Bien. Partons.
Je regardais le héros.
- Fais attention, la prochaine fois.
Je sortis mon arc en un clin d'oeil et tira au loin, très loin, on ne sut pas ce que je tirai, mais en tout ca,s je l'avais eue en plein coeur.
Je commençais à partir.

[ Là pour la retenir la petite soeur elle pourrais faire "Qui etes vous?" ou un truc du genre. ]

[ouais!]

Un sourire naquit sur mon visage je savais très bien que j'en aurais été capable, j'étais le fils de ma mère même si ej n'aimais pas ca!
Ma sœur se dégagea de mes bras et s’essuya les yeux.
-Qui êtes-vous à la fin!?
Demanda telle en s’avançant vers Artémis

-Qui êtes-vous à la fin!?
Je me retournais lentement vers l'enfant, je levais un sourcil puis fis un sourire moqueur.
- Tu ne devine pas, Adéla ?
j'articulais son prénom, l'ayant deviné grace à mes capacités divines.

Je grognais.
Ma sœur se tourna vers moi intriguée qu'elle connaisse son nom.
J'avais le visage fermé et fixais Artémis.
Adéla se concentra et la regarda, elle n'était au courant de rien de l’histoire des dieux et déesse, Je ne lui avais rien dis.
Je m’avança ne voulant pa sle lui cacher.
-Elle s'appelle Artémis.
-Comme la déesse ?
Je souris.
-Oui comme elle

Je souris, et regardais l'enfant, sans poser une seule fois mes yeux sur le héros.
- Tu m'as l'air assez intelligente et bien élevée. C'est bien.
Je m'approchais d'elle d'un pas lent, ignorant le regard méfiant du héros.
- Je ne lui ferai pas de mal. Promis-je.
J'arrivais à la hauteur de la petite fille.
- Quel âge as tu ?

(je la rajeunis xD)

Je la regardais faire prêt à intervenir et grognais.
Adéla regarda Artémis.
-11 ans depuis 3 semaines!
Elle sourit.
-Comment t connais mon frère ?

( Si tu veux :3 )

-11 ans depuis 3 semaines!
Je souris, mais pas de mon sourire de fou. Un sourire juste bienveillant.
- Bonne anniversaire en retard alors.
Je la regardais.
-Comment tu connais mon frère ?
J'haussais les épaules.
- Hm... On aime tous les deux la mythologie. Mais dis moi, si pour ton anniversaire, tu pouvais avoir le truc dont tu rêve, ce ue tu veux, tu demanderai quoi ?

Adéla regarda la femme devant elle en réfléchissant.
-Un animal....Un chien ca serais génial!
Elle sourit et se retourna vers son frère.
Je regardais Artémis les yeux plissés.

-Un animal....Un chien ca serais génial!
Elle était mignonne, très mignonne.
- Oui. Hm... Je me disais, tu sais, Diane elle a un petit copain, c'est un berger des pyrénées. Tu voudrais pas le rammener dans ta maison ?

Adéla fit de grands yeux tout ronds!
-Ho..ho ca serais génial! Je serais trop heureuse!
Je regardais Artémise.
-Adéla, ne bouges pas on reviens.
Je pris Artémis par le bras, et frissonnais au contact de sa peau froide, je l'emmena plus loins.
-Pour quoi tu fais ca ?

- Pour quoi tu fais ca ?
Je lui souris, reprenant mon sourire fou.
- Ne me regarde pas comme ça, je suis gentille avec ta soeur. J'ai envie de faire ma bonne action de la journée, et ta soeur est, je l'avoue, très mignonne, je peux ?
Je fronçais les sourcils.
- A moins que veuille priver ce chère trésor de son petit toutou tant désiré !

- Ne me regarde pas comme ça, je suis gentille avec ta soeur. J'ai envie de faire ma bonne action de la journée, et ta soeur est, je l'avoue, très mignonne, je peux ?
Je resta la regarder étonné.
- A moins que veuille priver ce chère trésor de son petit toutou tant désiré !
-Non je t'en pris....fais le ...mais tu veux quoi en échanges?
J'étais je dois dire méfiant.

-Non je t'en pris....fais le ...mais tu veux quoi en échanges?
J'haussais les épaules.
- Je verrai plus tard.
Je me rapprochais de la petite fille.
- Alors, Adélia. On l'appelle ce chien ?

Je la regardai faire et croisa les bras avant de m'adosser à un arbre.
-OKay.
Adéla hocha frénétiquement la tête.
-Ho oui, s'il vous plais.....

Je souris et m'assis sur l'herbe.
- D'abord faut lui trouver un nom. Sinon on ne peux pas l'appeller.

Adéla s'assit dans l'herbe près d'elle.
-Ho comme le chien des enfers! Cerbère!
Elle fit un grand sourire, tandis que je m'approchais et m'assis près de ma petite sœur en regardant Artémis.

- Ho comme le chien des enfers! Cerbère!
J'éclatais de rire à sa remarque, d'un rire doux .
- Comme tu veux.
Je claquais des doigt et appella.
- Cerbère !
Je sifflais, Diane se coucha près de moi.

Il ne se passa rien pendant un moment, je m'allongeais tranquillement dans l'herbe.