Vous entendez ses cris de bébé ?

J'arrivais, tenant ma femme dans mes bras, celle ci était toute pâle. Je la posais délicatement sur le lit et lui pris la main, terriblement inquiet.
- Ma chérie... je vais chercher Père, je reviens.
Je couru chercher mon père et revint, reprenant la main de ma femme.

Je respirai avec difficulté, et souris avec peine à mon père.
- il faut héra..j'ai mal.
Je grogna.

Mère ne tarda pas à arriver, en soupirant. Elle s'approcha d'athéna.
- Hm.
Elle souleva le draps et demanda à Zeus ainsi qu'a moi de me tourner, elle écarta les cuisses d'Athéna et regarda;
- Le travail a déjà commencer, je vais te faire dormir.

Je frémit.
- si il le faux.
Je m'agrippa au lit.
- j'ai maaal...

Je serrais les dents en entendant ma femme souffrir.
Héra posa une main sur la tête de celle ci, et elle ne tarda guère a cesser de souffrir, cependant elle ne s'endormi pas completement.
- J'ai besoin que tu restes avec nous, que tu me dise ce que tu sens.

Je me décontracta légèrement, et dis.
- d'accord..
Je grogna, et serra les poings, sentant une contraction.

Héra hocha la tête.
- Bon, tu vas respirer longuement, comme un chien, tu tire la langue si tu veux. Décontracte toi, laisse les contractiions venir. Et quand tu en sentira un grosse ou plusieurs de suite, tu pousse.

Je grognai, et appliqua la consigne. Je serra les dents.
- haa..
Je poussa, comme elle me l'avait ordonner. Je crîa.

Héra la vit pousser et elle hocha la tête.
- Le plus dure est là...
Elle regarda sous le drap, et je pus me retourner et prendre la main de ma femme.

Je serra très fort la main tendue.
-Haaarh..
Je poussa de nouveau, et eu une larme au coin de l'oeil, pourtant endormie.

Je cru qu'elle allait me briser les os de la main, mais j'étais tellement stressé que je n'eus pas mal.
Héra fit un grand sourire.
- La tête est sortie !

Je me cambra, et poussa encore.
- aa.. Apollon, j'ai mal!
Je mordis ma lèvres.

Je serrais les dents et caressa le bras de ma femme.
- Courage ma chérie, tu vas y arriver, tu y es presque !
Je regardais Héra.
- Vous n'avez pas un truc pour l'aider ?
Elle agita la tête.
- Elle a presque fini, je ne peux rien faire.
Je soupirai et posais ma main sur sur le front d'Athéna, la réchauffant grace à mes pouvoir d'une chaleur rassurante. C'est tout ce que je pouvais faire. Et ça lui permettrai d’atténuer un peu la douleur.

Je poussa de nouveau, et gémit, serrant le poignet de mon mari.
- haa.. Vite!

Héra sourit.
- C'est bon. C'est fini.
Mon coeur s'arrêta de battre en entendant un hurlement de bébé. Ce petit hurlement adorable, de ma petite fille, je tournais automatiquement la tête vers le cri.
Ma petite fille était un ange, avec un visage doux et tranquille, elle agitait ses bras en pleurant. H&ra la pris dans ses bras et l'enveloppa d'une serviette après l'avoir lavée.
- C'est une petite fille... Annonça-t-elle.

Je ferma les yeux, exténuée.
Je souris en entendant l'enfant, mais fus incapable de parler.
Mon père grogna.
- une fille?!
L'enfant se tus, et observa le monde.

Héra posa le bébé sur le poitrail de sa maman, pour qu'elle inspire son odeur, je les observaitaux anges.
- Kiara alors ? Demandais-je à ma femme.

Je souris.
- choisit. J'aime les deux.
Ma fille leva vers moi ses yeux bleus purs, et je souffla, éreintée.
Je dis.
- n'oublie pas de l'anoncer à artémis..

J'hochais la tête.
- Ne t'inquiète pas, la terre entière connaitra bientot la nouvelle..
Je caressais le dos de ma fille.
- Kiara...

Je ris doucement.
- c'est parfait.
Je caressa sa tête.
- prend la un peu, je suis fatiguée..
Je ferma les yeux.

J'hochais la tête et la pris dans mes bras, elle agita les bras et je remarquais qu'elle avait de grands yeux très claires.
Je ressentais sa chaleur contre mon corps, et je souris. De quoi pouvait-elle bien être la déesse ?
J'embrassais doucement sa fontanelle et lui souris.
- Ma petite Kiara...
Je regardais mon père.

Mon père grogna.
- une fille..!
Il partis, nous saluant. Je posa une main sur mon ventre. Je sombra dans un demi-someil, tout comme ma fille.

Je soupirai en entendant la réaction de mon père et m'assis sur le bord du lit, je regardais ma mère, pour une fois, elle souriait. Il n'y avait rien à dire, elle adorait les enfants. Elle posa une mon épaule.
- Mon fils, ne t'inquiète pas. Il finira par l'aimer...
Je soupirai à nouveau.
- Je l'espère...

Ma fille poussa un cri, de faim. Je leva mes yeux vers héra.
- merci pour tout...
Je me redressa un peu, observant mon ange dans les bras de mon mari.

Pour la première fois depuis longtemps, Héra fit un sourire sincère à sa fille.
Je regardais Athéna.
- Tu préfère l’allaiter au sein ou au biberon .