Tiens, que fais-tu ici ..? [Feat Apollon]

- Et moi j'ai jamais compris comment tu pouvais aimer massacrer des gens ^^
Je grognais.
- Je n'aime pas les massacrer.. J'aime quand c'est un défi : quand une personne n'est pas là ou elle devrais être dans ma logique, elle me gène, elle me provoque. Là, j'aime sentir que je suis plus forte qu'elle, même sous forme humaine grâce à l'entrainement.. J'aime sentir ma lame glisser sur leur protège balle, pour se glisse après sur les seuls trous pour les achever .. J'adore ça, être en force. Même quand je tire au gun, j'aime quand je suis tellement précise que je vise pile dans leur jugulaire..

- Je n'aime pas les massacrer.. J'aime quand c'est un défi : quand une personne n'est pas là ou elle devrais être dans ma logique, elle me gène, elle me provoque. Là, j'aime sentir que je suis plus forte qu'elle, même sous forme humaine grâce à l'entrainement.. J'aime sentir ma lame glisser sur leur protège balle, pour se glisse après sur les seuls trous pour les achever .. J'adore ça, être en force. Même quand je tire au gun, j'aime quand je suis tellement précise que je vise pile dans leur jugulaire..
Je l'écoutais puis rectifiais.
- Eh bien moi j'ai jamais compris pourquoi tu aimais massacrer des gens.

x')

- Eh bien moi j'ai jamais compris pourquoi tu aimais massacrer des gens.
Je lui lança un regard noir, pris un oreiller et le frappa avec en riant.
- raaah.. tu m'énerve >;<

- raaah.. tu m'énerve >;<
J'éclatais littéralement de rire, et mis mes bras en croix pour me protéger.
- Mon Dieu ! Au secours ! La déesse de la guerre m'attaque avec un oreiller 100% coton, haute qualité ! Que faire ?

- Mon Dieu ! Au secours ! La déesse de la guerre m'attaque avec un oreiller 100% coton, haute qualité ! Que faire ?

...


...


TT . Pff.

Je recommença encore plus vite mes coups.
- Idiot, fis-je en éclatant de rire.

- Idiot.
Je poussais des petit "aie" dont je faisais tout pour qu'il sonne faux.
- Aie, mon dieu ! Aie ! Ça fais encore plus mal que des coups de poignard ! N'a-t-elle aucune pitié ?
J'étais mort de rire aussi.

- Aie, mon dieu ! Aie ! Ça fais encore plus mal que des coups de poignard ! N'a-t-elle aucune pitié ?
Je m'arrêta.
- Mais euh >.<
Je reposa l'oreiller sur le lit.

- Mais euh >.<
Je souris et la fis tomber en arrière, me mettant sur elle.
- Tu as été très vilaine en me frappant avec cet oreiller ><. Je vais avoir des bleus partout maintenant ><

- Tu as été très vilaine en me frappant avec cet oreiller ><. Je vais avoir des bleus partout maintenant ><
Je ris.
- Ho oui, c'ets sûr, c'est douloureux un oreiller hein?

- Ho oui, c'ets sûr, c'est douloureux un oreiller hein?
Je me mis à chounier.
- Ouiiii ><
Puis je retrouvais mon sérieux et décrochais un sourire.
- Je t'aime .

Je ris.
- Même si je massacre des gens, si je tu frappe avec un oreiller..?

Je ris à mon tour.
- Oui, même avec ça.
Je reposais ma tête sur sa poitrine et...
- Oh **

J'haussais un sourcil.
- quoi?

- quoi?
Je levais la tête vers elle.
- On dirai qu'ils ont grossi *-*

- On dirai qu'ils ont grossi *-*

J'éclatais de rire.
- T'es bête ! C'est normal, tu m'a afit peur !

- T'es bête ! C'est normal, tu m'a fait peur !
Je ris aussi.
- C'est pas normal, c'est géniale *-*

Je croisa mes mains sur ma poitrine , la cachant.
- arrette tu va me complexer °°

- arrette tu va me complexer °°
Je grognais.
- T'as pas à complexer puisque de toute façon y'a que moi et toi qui avons le droit de la voir ta poitrine. Et moi je suis pas trop pervers... Enfin...

Je ris.
- Pas trop pervers? qui viens de me sortir que j'avais grossis des seins?!

- Pas trop pervers? qui viens de me sortir que j'avais grossis des seins?!
Je grognais.
- Je ne disais pas de trucs pervers, je constatais un fait avéré !

Je ris.
- Moui, bon, ça va pour cette fois.
Je l'attira à moi et l'embrassa.

- Moui, bon, ça va pour cette fois.
Je lui rendis son baiser, et en profitais un peu en passant très rapidement ma main sur sa poitrine, puis en regardant ailleurs, comme si de rien était.

Je sentis sa main, et ris.
- Quelle discrétion monsieur..

- Quelle discrétion monsieur..
Je lui tirai la langue.
- Je sais Madame, on m'appelle le "discreteur". xD

Je ris.
- Hum, cela dis j'ai jamais dis stop hein..